pour garder le lien, précieux
Le mot de l’indépendante que je suis (je me permets)
Le seul lien direct entre vous et moi, c’est la lettre d’information et ce site web. Les réseaux sociaux ? On ne sait qui reçoit l’information, la « faute » aux algorithmes.
Après des années à travailler dur et beaucoup beaucoup pour me former aux réseaux, le constat est assez terrible (pour moi, s’entend ^^) : je n’ai pas trouvé la recette pour faire décoller mes comptes et réseaux sociaux (c’est encore et toujours présenté comme un sain Graal, ce qui en soit questionne).
Des comptes qui ne décollent pas ? Faute de temps, de savoir-faire ? D’argent ? Sans doute un peu tout ça.
Pourtant, j’ai suivi quelques formations et été très appliquée, à mes débuts.
Insta. (Je partage cet exemple pour les nouveaux qui se posent des questions et qui pensent que tout le monde y arrive – bah non ! -, pour savoir si pour vous, pro, c’est idem. Quant à celles et ceux qui ont une succès story à raconter, merci de partager !).
Après avoir eu 2 comptes insta (un photo et un peinture) et puis un 3e (avec Paysâmes), – et donc autant de plannings de programmation -, après avoir consacré 20-30 heures/mois à publier (c’était avant l’essor des outils de planification et de créa), j’ai fini par capituler. Tout ça pour 3 likes ?!
Lassée, j’ai décidé de n’en conserver qu’un unique compta insta. On verra !
Alors, forcément, pas évident de mêler peinture et photo, les belles images et les sujets de fond de citoyenneté. pas simple pour les visiteurs de comprendre ? Je veux bien l’admettre mais je ne peux pas mourir pour « La » cause. Je reste attentive à ce qui se dit (= serait à faire) et à défaut d’avoir trouver la recette miracle, je continue de publier, comme je peux.
Autre hic (qui impacte mon référencement négativement), faut dire que j’adore inventer des nouveaux hashtags. C’est drôle mais sans doute pas très pertinent pour les robots. Mais que voulez-vous, c’est ma façon de rire de notre monde.
Mais plus sérieusement, j’ai capitulé avec l’émergence de l’IA (j’ai déjà publié un article coup de gueule là-dessus). J’avoue que passer des heures à créer du contenu pour nourrir Lia m’interroge très très fort.
de la chance (malgré tout) des réseaux et du web
Cela posé, je considère malgré tout comme une grande chance d’avoir accès à ces outils de diffusion massive. Ah ? Ha ? Certains objecteront. S’insurgeront. Ah, mais que de contenus inutiles, mauvais (…). Oui, bien sûr. Mais pas que ! Il y a aussi plein de gens géniaux, de créateurs de dingue, d’artistes sublimes, des parcours inspirants (…).
Je persiste donc en me disant, que peut-être, un jour, mon ou mes comptes décolleront. Pour l’heure, une résolution : j’ai décidé que sur les réseaux comme dans mes bouquins, je ferai au mieux, avec ce que je suis, ce que je peux – comme cela me semble sensé.
Quant à la pub (à laquelle j’ai eu et aurai recours), qu’en dire ? 1. Il faut de l’argent pour en faire. L’argent est un facilitateur de performances, quoi qu’on en pense. Pour ma part, il est compliqué et financièrement et éthiquement d’en passer par là but we need to be efficaces et nous sommes de l’époque. Comment s’en dispenser ? (Avis et conseils bienvenus.)
et la lettre d’info alors ?
Oui, revenons-y : ce lien est extrêmement précieux. Il permet de vous envoyer des nouvelles (salons, marchés, projets en cours et nouveaux produits, …).
En pratique :
– son nom : Joooa
– expédiée depuis l’adresse : bonjour [a] joooa.fr
Elle passe souvent en spam à cause des images. Autoriser la réception en amont.
– fréquence : euh, mensuelle en rythme de croisière
(Note : l’année 2024 est une année de transition (mise en place de ce site, nouveau logo, etc.). Sa publication a été suspendue pour des raisons de temps et techniques).
Conclusion (ouf, j’y viens)
Si vous êtes intéressé.e par mon travail – en tant que professionnel.le et/ou particulier -, une seule chose à faire : s’inscrire (plus bas ou en page contact).
Grand merci !
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