préambule
Ici, vous trouverez une revue de presse très partielle : impossible de tout lire, tout relevé.
Manquent toutes ces causeries et temps d’échange organisés depuis 5 ans. ‘Que voulez-vous, je préfère faire et rencontrer les gens que de découper les journaux.
(J’avoue, c’est idiot : ça donnerait un peu de corps à mon propos ^^).
Voilà un échantillon, qui donne à voir un peu ou qui je suis ou qui relaie mon travail.
En ce moment, Je te dis M occupe toute la place et commence à être évoqué localement.
Je n’ai pas encore mobilisé la presse nat’ (car le spectacle sera proposé d’abord en région), mais ça viendra 😉
Note :
Les livres Paysâmes et Paysômes font l’objet de revue de presse dédiées (à retrouver depuis les pages des projets.)
projet d’actu – revue de presse

Je te dis M : parler pour arrêter de se taire
À Concarneau, cette artiste revient avec un projet de conférence à propos des problèmes sociétaux.
OF, COncarneau, avril 2025 – lien ici
À Concarneau, un nouveau projet artistique pour Johanne Gicquel
Le télégramme, avril 2025. Lien là
Sur radio Balises dans le grand projet
revue de presse agri-culturelle
paysâmes
« Ce coup de poing sur la table tient de la déclaration d’amour, de l’objet d’art et du cri de guerre.
Un coup de projecteur rare sur celles qui nous nourrissent. «
Hélène Piot, Régal
« C’est puissant, c’est beau, ça pique » « poétique et politique »
Jérôme Cadet, France Inter
« Images magnifiques. évite remarquablement le piège du romantisme »
la Décroissance

Johanne Gicquel, de la terre plein les mots
‘Son livre, elle l’a intitulé Paysâmes, clin d’œil à une chanson de Claude Nougaro. On y croise les vies de onze femmes, onze agricultrices bretonnes, pour la plupart cheffes d’exploitation, « à part une qui est salariée de son mari » relève Johanne.
Le poids du patriarcat
Au fil des textes et des photos en noir et blanc, l’autrice peint des tranches de vie, sans fioritures, interroge la réalité d’un milieu très masculin, s’arrête sur les mécanismes de l’agriculture conventionnelle, évoque la mutation du paysage agricole, dévoile « des terriennes belles et touchantes », donne à voir cette agriculture bretonne « qui a toujours été portée par les femmes ». «
« La paysanne, ce n’est pas que la femme d’un paysan, martèle Johanne Gicquel, elle ne se définit pas que par son mari. J’ai voulu leur donner la parole car il est souvent difficile pour elles culturellement de la prendre ».
Même si Paysâmes n’a rien d’un manifeste féministe, le livre aborde, de front et en creux, le poids du patriarcat. La misogynie dans le paysage agricole, « ça transpire », selon l’écrivaine-photographe, n’en déplaise à ceux qui lui lancent « non mais, c’est bon là, la place des femmes, il est où le problème ? ».
La place des femmes, dans ses souvenirs d’enfant, elle est debout quand les hommes sont à table. « Elles servaient, avec application et sans broncher ». La place des femmes n’est pas bien élevée non plus dans le sempiternel « il est où, le patron ? » , alors qu’à part égale avec son conjoint, elle est à la tête d’une exploitation.
Elles sont encore nombreuses, celles qui travaillent à l’extérieur et qui, en plus de ce boulot, participent à l’activité de la ferme. Ces femmes-là, elles sont invisibles, elles n’ont aucune reconnaissance
Johanne Gicquel
paysômes
Jt de France 3 édition Iroise
Reportage filmé chez Guénolé, paysan en reconversion, en tout début d’installation.
Lui fait dans l’élevage de chèvres et pas loin d’un an après notre rencontre, il découvre le livre et et livre ses impressions sur son début de carrière. Réalisation en février 2024.
Lien vers le podcast et le revoilà (après changement)
Emission météo à la carte
Reportage réalisé en mai 2022, lors du reportage chez Thomas, herboriste, diffusé en mai 2023.
Note : Quelques images en témoigne dans le livre Paysômes.
à propos des causeries, conférences et expo autour du monde paysan

Ici, une causerie à la ferme et au moulin de Saint Germain, 2024. Chez Pierre, David, Félix, paysans boulangers.
Félix a fait l’objet d’une interview pour le podcast (montage à faire et diffusion un jour prochain).
À Guern, l’artiste peintre Joh Anne soulève des problématiques agroécologiques.
Le Télégramme, février 2025 – lien ici
« Autant l’ambiance de la vingtaine de personnes concernées par la cause agroécologique et la causerie de Johanne Gicquel, vibrante et convaincante, a été géniale. Autant le nombre des participants était décevant au regard des enjeux cruciaux et capitaux que sont les sujets agricoles et écologiques abordés par cette artiste talentueuse et extraordinaire », confie Christophe Astoul, président de l’association Penn arts. »

Trégunc. Paysâmes, les femmes et la terre à l’espace Terre Marine
Jusqu’au 19 octobre, l’espace Terre Marine accueille l’exposition Paysâmes de Johanne Gicquel, à Trégunc (Finistère). Un hommage aux femmes paysannes.
Fruit d’un travail de terrain entamé entre 2018 et 2021, l’exposition itinérante Paysâmes concoctée par la photographe de terrain Johanne Gicquel fait escale à Terre Marine, à Trégunc (Finistère). Une abondante somme d’informations puisées au contact de femmes de la terre rencontrées en Bretagne, dans le cadre d’un reportage qui a donné lieu à la publication d’un livre.
Des parcours éloquents
Le public croisera les destins en noir et blanc de Martine, syndicaliste engagée dans les structures de remembrement et aujourd’hui militante de l’association Eaux et Rivières, de Stéphanie, boulangère œuvrant au fournil alors qu’elle est enceinte de 8 mois. La débordante d’énergie Fabienne, parvenue à l’autonomie alimentaire de son troupeau ou encore le couple Audrey et Laurianne, dont l’investissement dans la gestion des haies rappelle combien le paysan est aussi le premier gestionnaire du paysage, complètent une gamme de parcours éloquents.
Pour les amateurs de fruits rouges, il suffira de se pencher sur les clichés réalisés au fil d’une saison entre l’installation des tunnels et la récolte des fraises au cours de longues journées harassantes.
Vers un tome 2
Aujourd’hui, l’envie de poursuivre ce travail se concrétise par la préparation d’un tome 2 qui s’intitulera Paysômes. Un travail, des reportages qui permettront de saisir le quotidien d’une dizaine d’hommes. Mon premier reportage a été effectué sur les terres de Lanénos, où exerce l’herboriste Thomas Gieux. Je mettrai bientôt le cap sur la dernière ferme brestoise afin de dresser un portrait de l’agriculture urbaine
, annonce Johanne Gicquel. L’exposition, si elle ne manquera pas d’intéresser les adultes, est fortement conseillée au jeune public.
Les femmes paysannes sublimées et exposées à Tri Martolod, à Concarneau
La photographie et la ruralité – deux univers que Johanne Gicquel a croisé pour publier deux ouvrages, Paysâmes, puis Paysômes, consacrés aux femmes et aux hommes de l’agriculture. Ses photos sont exposées à la brasserie Tri Martolod, à Concarneau (Finistère), jusqu’au 26 février 2024.
OF, article ici
revue de presse + artistique
Les prix Jeux poétiques de Vannes et Blaise-Cendrars ont été remis à Vannes
Des prix de poésie ont été remis, vendredi, à Vannes : les prix des Jeux poétiques de Vannes et le prix national Blaise-Cendrars.
En présence de Michel Boisson (en marinière), Fabien Le Guernevé a remis le prix Blaise Cendrars à Johanne Gicquel. (MARYLINE LAMBERT)
À Gourin, elle peint au rythme de la musique
Johanne Gicquel a réalisé une toile au rythme de la musique de Jérôme Gloaguen et Fabien Robbe, à Gourin.
Une cinquantaine de personnes ont assisté à la performance offerte par les artistes Jérôme Gloaguen, Fabien Robbe et Johanne Gicquel, dimanche 28 août, dans la longère de Tronjoly, à Gourin, dans le cadre des expositions d’été de l’association À ciel ouvert.
Johanne Gicquel a réalisé une toile en s’inspirant de la musique du batteur Jérôme Gloaguen et du pianiste Fabien Robbe. Quelques coups de baguettes, les premières notes du piano et c’était parti pour une heure d’improvisation. Peu à peu, la toile a pris forme. L’harmonie s’est propagée au public qui, à son tour, a battu le rythme avec ses pieds. Si Jérôme Gloaguen et Fabien Robbe sont coutumiers de ce genre d’exercices, pour Johanne Gicquel, dont le stress était palpable, c’était une première fois. Et ce fut une belle réussite. D’ailleurs beaucoup ont souhaité féliciter personnellement les artistes, qui l’ont grandement mérité. Cette animation était aussi l’occasion de découvrir le talent du sculpteur Manu Chouffeur, des peintres Joëlle Troussier, Anne-Claire Birebent et Maryvonne Herbot, et des photographes Jean-Loup Toniutti et Sonia Renaudineau.
Article : ici
Gourin. Les expositions d’été d’À ciel ouvert sont lancées
« C‘est la première fois que nous exposons de nouveau en juillet et en août, depuis le Covid »,
a souligné la présidente, Nicole Jamet. Les visiteurs découvriront les œuvres des peintres Joëlle Troussier (également sculptrice), Anne-Claire Birebent et Johanne Gicquel ; des photographes Sonia Renaudineau et Jean-Loup Toniutti ; du sculpteur Manu Chouffeur et de la peintre et créatrice de bijoux, Maryvonne Herbot. C’est une réussite, chaque œuvre suscite une émotion et c’est réconfortant de voir que le cœur de la culture bat à nouveau normalement
, a commenté le maire de Gourin, Hervé Le Floc’h.
Article
Quelques articles et initiatives menées
Regard nature
Extrait : « Artiste dans l’âme, Johanne Gicquel navigue de la peinture à la photo… en passant par la poésie, mais a toujours été très sensible à la nature. C’est ainsi qu’est née l’idée de consacrer deux jours à la nature sur le site de St Nicolas des Eaux.
Femme en transition
Rencontre avec Johanne Gicquel, ancienne paysanne-boulangère bio, qui travaille actuellement dans une association environnementaliste bretonne, et qui mène en parallèle des projets autour de la peinture et de la photo. Elle est notamment l’auteure d’ouvrages photos autour de l’eau.
C’est à Concarneau que nous rencontrons Johanne Gicquel. La quarantenaire est arrivée là « Grâce au hasard des rencontres ». Celle qui se définit comme « une fille qui aime la nature et pratique la peinture et la photo » travaille aujourd’hui pour une association qui œuvre autour de l’agriculture durable et du développement durable et solidaire en Bretagne, et ce pour quelques mois. Une nouvelle étape dans son riche parcours.
article extrait de Eco-bretons.
Dossier autour de mon travail dans la revue Etonnantes, avril 2023
Que la vie pétille
Atelier d’écriture – Les Chemins du Kreiz Breizh
Le Contrat Départemental Lecture Itinérance 2023 – 2026, signé entre le Département des Côtes d’Armor et la DRAC Bretagne, se déploie en 2023 sur le territoire de la CCKB. (…) Un atelier d’écriture proposé par Johanne Gicquel, artiste et autrice, est ouvert à celles et ceux souhaitant développer leur fibre littéraire à partir des photos sélectionnées. Les textes accompagneront les photos de l’exposition.
Article ICI
Bulles de Vie : un livre et 1 journée nature
Deux étudiantes organisent mercredi 29 mai 2019 toute une série d’activités autour de la nature. Au programme : stage photo, présentation des plantes médicinales, conférence et exposition…
L’association O’plurielle propose, mercredi 29 mai, une journée d’activités près de la chapelle Saint-Nicolas, mercredi, sur le thème de la nature.
Cet événement a été créé par deux stagiaires, en master Métiers du livre. « Nous avons voulu créer une manifestation pour sensibiliser et faire découvrir la nature autour de plusieurs activités »
, expliquent Tyffany Blandin et Lucie Delaplace.
Article toujours par là
l’arbre et l’eau – exposition
Johanne Gicquel et Jacques Camlann, passionnés de nature, exposent leurs vingt-quatre photographies (douze chacun) en grand format, salle du conseil, à la mairie.
Donnant ainsi un aspect féerique aux images : « Je réalise souvent une double exposition : en prenant une seconde photo après 1’15” de seconde, en bougeant légèrement l’objectif 24 x 36. Cela donne un effet de flou étoant », explique Jacques Camlann, devant ses photographies prises près de l’abbaye de Timadeuc et du moulin de Coet-Morue, mais aussi à Pontivy.
tout l’article ici