C’est le livre d’une bretonne qui a découvert la bretagne intérieure

La Bretagne et ses paysages

Dites, la Bretagne, c’est quoi ou comment pour vous ? « Un phare (de l’ouest), la mer, les embruns et les cirés jaunes. »  Ahahah. Pas que. la Bretagne, ce sont aussi des paysages de champs, de bois (plus que de forêts). Ce sont aussi les verts et les bleus des rivières qui se mêlent, les champs, les vaches et les piafs. C’est aussi les étendues cultivées, et les panoramas immenses.

genèse du livre

15 ans passés dans le triangle Pontivy-Guénin-Saint Nicolas des Eaux et quelques balades plus tard, les clichés se sont accumulés, et c’est encouragée par des amis que je me suis dis « et si je publiais un livre juste sur cette terre faite de lande et de champs ? ». Voilà là le résultat.

Beau voyage, en attendant que vous passiez par là. Vous verrez, c’est encore mieux en vert… euh, en vrai ^^

Voyage en Bretagne intérieure. En voiture Simone !

Vos impressions *-*

Merci à Olivier pour ce partage, inspiré par Paysages Int&rieurs.
perspectives allégoriques
infinités cycliques
balades bucoliques
flâneries poétiques
esquisses esthétiques
exquises landes mystiques
espaces idylliques
rêveries authentiques
marches artistiques
méandres celtiques
frénésies amnésiques
évasions quasi chamaniques
échappées éclectiques
instantanés féériques

œuvre imagée romantique.

Evolution des paysages et de mon travail photo

Ce travail photographique, de collecte d’images (bretonnes), se poursuit. Les galeries du portfolio en témoignent. J’aime toujours autant immortalisé les paysages, même si je ne m’arrête pas/plus qu’à montrer le « beau ».

En fait, je dois avouer que si montrer le beau appartient pleinement à ma démarche de sensibilisation auprès des plus jeunes (il « faut », je le crois, de la poésie), j’ai considéré important de montrer aussi nos paysages heurtés, bousculés, modifiés, enlaidis (chacun.e jugera).

Le paysage anthropisé

Raconter l’époque – comme j’y aspire de plus en plus (ce que j’explique dans mes livres paysâmes et paysômes) – ne peut s’envisager, à mon sens, sans une photo parfois « crue », ou cruelle par ce qu’elle donne à voir.

Et puis, quitte à finir d’analyser mon travail photographique, il est clair que le noir et blanc – que j’ai toujours affectionné – est de plus en plus fréquent.

Dernier point ici : parmi les prestations que je propose, les ateliers ou interventions en direction des groupes constitués. Car qu’on se le dise, la photo demeure en excellent moyen d’apprendre à voir la nature.